Brancusi : la suicidée, le baiser et les millions

"Un véritable casse-tête judiciaire, au carrefour du droit funéraire et de la politique culturelle d'Etat. "L'Etat français estime que la tombe, la stèle et la sculpture forment un "immeuble" totalement solidaire et indissociable soumis en cette qualité au régime de protection des monuments historiques, résume Me Isabelle Robert-Védie, avocate de la famille Rachewskaïa au sein du cabinet Simon & Associés. Nous considérons pour notre part que cette sculpture existait avant d'être intégrée à la tombe qu'elle vient orner et qu'elle peut donc en être dissociée.""